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 La nouvelle sans nom.

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Xilya

Xilya

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MessageSujet: La nouvelle sans nom.   La nouvelle sans nom. Icon_minitimeVen 28 Nov 2014 - 13:10

Dans les rues sombres et tranquilles de la petite bourgade qu’est Arles, une ombre se faufile entre les maisons, sautant de toit en toit, se fondant dans le décor sombre du paysage, entre les aiguilles de pins et dans la fumée des cheminées. Elle suit sa proie, silhouette minuscule vue de l’endroit où elle se trouve. Seul se distingue dans la pénombre la chevelure châtain de la future victime, tombant jusque dans le bas de son dos.  L’individu qui la suit ne semble avoir aucun mal à la voir. Car ce n’est pas une personne normale, loin de là. C’est un prédateur, en pleine traque.

Une jeune fille déambulait dans les dédalles de la ville sans se presser, le cartable à l’épaule, en route pour se rendre à cet endroit si redouté et craint des jeunes qu’est le collège. Il était encore tôt, la collégienne était plus qu’en avance et en profitait pour flâner dans  ce village, qui bien qu’il abrita son école, elle connaissait très peu.  Elle savait qu’une de ses amies vivait dans les parages mais son sens de l’orientation étant à désirer, elle n’était aucunement capable de trouver le chemin qui mènerait à sa maison. Elle se contentait donc de continuer à marcher, de poser un pied devant l’autre, d’admirer les bâtiments qui s’offrait à sa vue et de dévorer des yeux les rares magasins de viennoiserie qu’elle croisait de temps à autre, ne songeant pas une seule seconde à l’éventualité qu’elle puisse se perdre. Son ventre gargouillait furieusement, lui rappelant par la même qu’elle n’avait pas pris le temps de déjeuner dans sa hâte de quitté le domicile, de fuir loin des hurlements de son père et des sarcasmes ininterrompues de sa petite sœur. Elle fourre les mains dans ses poches et les fouillent pendant de longues minutes, espérant trouver une pièce ou quoi que ce soit qui puisse la contenter. Elle n’y trouve cependant que des élastiques, des mouchoirs, des chewing-gums donnés par une amie, et un papier couvert de Kanjis et signe japonais en tout genre. Cette trouvaille la laisse songeuse. Elle se doute bien que c’est Miharu qui a griffonnée tous ces signes, mais leur signification lui échappe. Elle se demande aussi d’où lui vient cette obsession pour le Japon, le pays du soleil levant. Leurs culture est, parait-il, d’un extrême raffinement. De son côté, elle ne peut s’empêcher d’être dubitative. Un profond soupir s’échappe d’entre ses lèvres. Rien dans toutes ces cochonneries ne pourrait la repaitre, à moins qu’elle ne s’abaisse à manger du papier. Elle pourrait surement demander à Haruka ou Kaori une fois qu’elle sera au collège. Elle relève la manche qui voile son poignet et regarde sa montre. Huit heures moins vingt. Il est temps de rebrousser chemin. Elle lève la tête et fait quelques pas en regardant le ciel, toujours un peu dans les nuages. Il lui faut quelques secondes pour se rendre compte qu’elle n’a aucune idée d’où elle est, d’où elle va, ni même d’où elle est passée pour arriver jusqu’ici. Elle est perdue dans les limbes de la ville. Les ruelles sombres et les gens qui les arpentent lui semblent soudainement moins sympathiques qu’il n’y a quelques secondes. Elle court presque maintenant, damnant son sac d’être si lourd et encombrant. Elle jette des regards méfiant aux hommes qui l’entourent, s’écarte craintivement sur le chemin des femmes d’affaires qui la dépasse sans un regard, sacoche à la main, des mèches de cheveux s’échappant de leurs chignons. Elle repense avec nostalgie à l’été, cette période de l’année ou le soleil nous illumine de ses paresseux rayons dès quatre heures du matin, chasse l’obscurité et réchauffe le cœur de ceux naguère perdus dans les ténèbres. L’hiver le cœur de l’astre se glace, congelé par le vent polaire, sa lumière chaleureuse se fait glaciale et cruelle et ne nous éclaire qu’après huit heures, laissant en pâture les rues et les ruelles à la nuit austère. C’est là que se cachent violeurs et criminels en tout genre et, elle en est sûre, ils sont en train de l’épier en ce moment même, guettant un faux pas de sa part, prêts à lui sauter dessus tels des animaux. Elle frisonne, continue son chemin dans la demi-obscurité, se noyant dans une foule de gens la poussant de droite à gauche, la faisant reculer puis la propulsant en avant. Prise de vertige elle se décide de continuer son chemin par des passages plus étroits, plus sombre mais moins fréquenté. Les muscles tendus à se rompre, les sens aux aguets, elle scrute chaque allées minutieusement avant de s’y engager. Aux bouts de plusieurs minutes, des heures peut-être même, à tourner en rond elle commence à se décourager. Retrouvera-t-elle seulement un jour la douceur réconfortante de son lit bien chaud ? Mourrait-t-elle donc ainsi dans le froid ? Elle ne pouvait s’y résoudre. Elle sort le papier couvert d’Hiragana et de Kanjis, comme si il pouvait lui donner une indication. En la regardant attentivement elle y trouve une inscription griffonné avec l’alphabet français, du « romaji » comme dirait Miharu. «  Migi », ce qui veut dire droite.  Dans son délire naissant, la jeune fille s’imagine que son amie avait laissé cette indication dans le cas où elle se perdrait. Ne tenant pas compte de l’absurdité de son hypothèse, elle prend la prochaine ruelle à sa droite. Celle-ci est plus sombre que les précédentes, un vent glacial y souffle et très vite la collégienne se met à frissonner. Rendu courageuse – ou stupide – par le faible espoir de retrouver son chemin, elle continue sa marche, s’enfonçant de plus en plus dans les ténèbres épaisses. Elle continue longtemps ainsi, tâtonnant comme une aveugle pour ne pas trébucher sur les détritus qui jonche le sol.

Un cri retentit soudain. La jeune fille se fige, surprise par toute la souffrance qu’elle pouvait discerner dans celui-ci. Une lumière faible et vacillante éclairait le bout de la rue, d’où émanait des bruits de succion.  L’idiote, au lieu de rebrousser chemin, se mit à courir vers la lumière, curieuse de l’origine de ces hurlements. Le spectacle qu’elle découvrit lui donna la nausée. Tout d’abord le sang. Du sang partout ! Sur les murs, le sol, des particules d’odeur flottant dans l’air et venant agresser des narines. Des mers de sang, des flaques qui s’agglutinent aux pieds d’un cadavre encore chaud. Le corps lui et couvert de coupures plus ou moins profonde ; surtout au niveau de la tête. Tous ses doigts son coupés et sont en train de se noyer dans le liquide rouge qui continue de goûter au sol, semblable à des céréales nageant dans du lait. Mort par hémorragie. Torture horrible suivit d’une longue agonie. Des hauts le cœur s’emparèrent de la jeune fille, son corps se mit à trembler et ses jambes, refusant de coopérer plus longtemps, cédèrent la faisant tomber au sol. Des morceaux de son diner de la veille rejoignirent l’océan pourpre tandis qu’elle vomissait à grand bruit. Elle ne voulait qu’une chose en cet instant : se réveiller dans son lit et réaliser que tout cela n’était qu’un rêve. Des bruit de pas suivit de grognements inhumain résonnèrent dans son dos. La peur au ventre, tremblant d’appréhension, la jeune fille se retourna lentement. Le soulagement brilla dans ses prunelles quand elle eut reconnu son amie, Miharu. Seulement, quelque chose n’allait pas. Ses yeux étaient d’un rouge sombre et pénétrant. C’est la première chose qu’elle remarqua : ses yeux. Mais il y avait plus voyant encore, et plus horrible. Elle n’était pas humaine. Ou ne l’était plus tout du moins. Des oreilles de loups sortaient de son crâne ; l’une était encore couverte de fourrure noire, l’autre était nue et sanguinolente. De son dos dépassait deux sortes de branches noires, semblable à des ailes. Des lambeaux de peau en pendaient, ainsi que de petites pierres en forme de losanges multicolores. Enfin son sourire : un petit rictus amusé qui laissait entrevoir des crocs blancs et pointus. Elle n’était maintenant plus qu’un animal. La créature s’avança lentement vers sa proie, avec la grâce et la rapidité qui caractérisait les grands félins. Avant que la bête n’ait pu lui sauter à la gorge, la jeune fille s’évanouit.

Quand elle se réveilla la collégienne était toujours dans la ruelle. Ses poignets et ses chevilles lui faisaient mal, et tentant de les bouger elle se rendit compte qu’elle était attachée. Un rire résonna près d’elle. La peur l’étreignit et elle se mit à appeler à l’aide.

« - Cela ne sert à rien. Personne ne viendra te chercher. Tu vas mourir ici, exactement comme la fille que tu as vu tout à l’heure. »

Le bourreau se remit à rire, jubilant déjà à l’idée de toutes les délicieuses tortures qu’elle allait infliger à sa proie.
Elle tourna lentement autour de celle-ci, faisant volter des ciseaux entre ses doigts habiles. Elle s’arrêta quelque instant, et avec un petit cri enthousiaste, enfonça son arme dans l’œil droit de la prisonnière. Du sang sortait à grand bouillon, éclaboussant les vêtements de la victime et de sa tortionnaire.  Des hurlements s’échappaient de la bouche de la malheureuse qui subissait cette atrocité, suppliant son amie d’arrêter tout ceci. Satisfaite des supplications de la collégienne, la prédatrice ôta ses ciseaux de l’orifice avant de l’y replonger sauvagement, répétant les mêmes gestes encore et encore. L’œil ne ressemblait maintenant plus qu’à une soupe visqueuse, des morceaux blancs flottaient dans le liquide rouge qui occupait  la cavité oculaire.

«  - C’est étrange, n’est-ce pas ? Cette situation, je veux dire. Qui aurait cru que tu finirais torturée dans une ruelle quelconque ?  Oh ne me regarde pas comme cela ! Tu es en grande partie en faute pour ce qui t’arrives. Tes parents ne te répètent-ils pas que trainer seule dans les rues à cette heure-ci est dangereux ? Prend cela… comme une punition pour ne pas avoir écouté tes ainés. »

Elle lui décocha un grand sourire, avant de lentement approcher la lame souillée de ses mains attachées. La jeune fille, effrayée, tenta dans un sursaut désespéré de se défaire de ses liens.

«  - Tututu ! Qu’avons-nous-la ? On résiste, on veut jouer les rebelles ? Sache que je n’apprécie pas du tout cette attitude… Eh bien, moi qui ne comptais que te faire une petite frayeur et t’achever rapidement, il semble que je doive changer mes plans. »

Sur ses mots, elle se saisit d’une scie soigneusement posée contre le mur. Elle la regarda quelque instant à la faible lueur du soleil, puis la posa à la base des doigts de la pauvre victime. Tout en regardant la malheureuse dans les yeux, elle se mit à faire des mouvements de va et vient avec la lame. Les cris ne tardèrent pas à fuser, mêlé aux bruits des os se rompant et du plic-ploc régulier du sang goutant au sol. La suite ne fut qu’une boucherie sanglante, et finalement la ruelle entière fut repeinte de pourpre. Etrangement, grâce à sa formidable ténacité ou à une plaisanterie d’une quelconque divinité, le cœur de la collégienne ne s’était pas encore arrêté, même après cette interminable torture. Mutilée de toute part, ne ressemblant maintenant pas plus à un être humain que son agresseur, elle lui lança un dernier regard suppliant.  L’autre, en réponse, leva ses ciseaux au-dessus de sa tête.

«  - Ne prend pas cela personnellement.  C’est tombé sur toi, mais cela aurait pu être n’importe qui d’autre…Ce n’est qu’un mauvais coup du destin, ou peut-être de ce Dieu  que tu aimes tant, qui sait ?»

Elle abattit alors ses ciseaux un peu en dessous de la poitrine de sa victime dans un éclat de rire, puis elle l’éventra de haut en bas. Plus aucuns sons ne sortaient de la bouche de la pauvre jeune fille agonisante. Elle regardait à présent l’Horreur droit dans les yeux, tandis qu’elle se vidait lentement de son sang. La prédatrice s’amusa pendant un moment avec les entrailles de sa victime, et c’est pendant ces jeux sombres que l’esprit de la malheureuse pu enfin reposer en paix. Quand elle eut finit, la bête abandonna là le corps, retrouvant son déguisement de simple humaine. Elle continue aujourd’hui encore d’arpenter les rues, à la recherche d’une proie.
Le corps ne fut pas retrouvé. Les vicaires de la ville l’avaient avalé, cachant à tout jamais les méfaits du  loup déguisé en agneau.


Dernière édition par Haruka le Jeu 2 Juin 2016 - 15:53, édité 9 fois
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Xilya

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MessageSujet: Re: La nouvelle sans nom.   La nouvelle sans nom. Icon_minitimeDim 27 Sep 2015 - 0:04

Bon. J'ai légèrement réécrit la fin, juste quelques phrase, rien de bien méchant. Elle est toujours aussi nulle et pleine de fautes qu'avant cependant... Désolée.
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Yamata

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MessageSujet: Re: La nouvelle sans nom.   La nouvelle sans nom. Icon_minitimeJeu 22 Oct 2015 - 22:30

Hé c 'est mon histoire (ou plutot celle ou je suis l heroine) ! je l aime bien! Meme si je me fait bouffer!
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Allancien

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MessageSujet: Re: La nouvelle sans nom.   La nouvelle sans nom. Icon_minitimeDim 8 Mai 2016 - 22:24

J'aime bien cette histoire. Un peu sanglant, mais il y a pire.
On dirait le genre d'histoire qui trotte dans la tête et qui à force de revenir finit par mûrir.
Tu m'as vraiment donné l'impression d'entrer dans la tête de la jeune fille. C'était peut-être aussi une invitation à te rencontrer (le sens de l'orientation, la soeur...)?
Ta nouvelle pourrait même donner une histoire plus longue, je pense.


Edit Plume Noire : Je rassemble tes deux messages en un pour éviter le double post.


C'est drôle : une journée après avoir lu ta nouvelle, il m'arrive un truc en rapport. Et je ne pense pas que ça ait un rapport avec l'odeur hallucinogène du shampoing de mon coiffeur, qui date de la veille encore.
Comme d'habitude, je vais au lycée. Au réveil, j'entends une sorte de bruit de cloche d'église. C'était assez éloigné, je n'y ai pas prêté d'attention. Puis, en allant au lycée, j'entends de nouveau ce son de cloche. Encore une fois, je l'entends de loin et je pense vite à autre chose. En rentrant chez moi, ces cloches retentissent encore. Cette fois-ci, je me questionne, et je repense à cette nouvelle. "Ce Dieu que tu aime tant" écris-tu. J'espère que ce n'est pas un avertissement parce qu'une créature destructrice qui pourrait être mon amie me suit!
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Xilya

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MessageSujet: Re: La nouvelle sans nom.   La nouvelle sans nom. Icon_minitimeDim 29 Mai 2016 - 19:55

Je suis heureuse que tu ais apprécié ma nouvelle ! Personnellement c'est l'une de celle qu'il me fait honte de relire, car pas d'assez bonne qualité à mon goût ^^
Peut-être que c'est Plume qui te suit comme ça, qui sait .-. ( CETTE FILLE EST DANGEREUSE. )
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Plume Noire

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MessageSujet: Re: La nouvelle sans nom.   La nouvelle sans nom. Icon_minitimeDim 29 Mai 2016 - 20:02

Haru, c'est quelque chose qui devait rester entre nous, ne crie pas si simplement sur tous les toits mes secrets s'il te plait ! Sinon tu auras des macarons en moins dans la prochaine livraison...
J'étais justement en train de penser à ta nouvelle et au commentaire promis toujours pas fait, quand j'ai vu ton message. Encore une connexion d'esprit *-*
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Xilya

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MessageSujet: Re: La nouvelle sans nom.   La nouvelle sans nom. Icon_minitimeDim 29 Mai 2016 - 20:21

Je devais me venger pour le "pupuce" que tu as ressorti =s MAIS PAR PITIE NE ME PRIVE PAS DE MACARONS ! D=
Je sais que tu es prise, ne te dérange pas à écrire un commentaire sur cette...chose. Surtout que je me doute qu'il n'y aura que des remarques négatives, ou presque xD
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MessageSujet: Re: La nouvelle sans nom.   La nouvelle sans nom. Icon_minitimeDim 29 Mai 2016 - 20:37

Non, les commentaires ne peuvent pas n'être que négatifs. Il y a de l'originalité, et pas mal d'idées que tu peux davantage développer. Comme par exemple le passage où elle passe du village à la ville sombre. Je me sens légèrement perdu à ce moment, même si tu as su me maintenir aux côtés de ton personnage en m'empêchant de me poser des questions. Tu vois? Pas que du négatif!
Des macarons?
Je ne sais que trop bien des dangers causés par la simple fréquentation de cette fille... Mais c'est plus insidieux, moins morbides, bien qu'elle assure ses prises et les renforce au fil du temps.
Tiens, ça me fait penser : tu pourrais peut-être davantage accentuer l'atmosphère de danger qui plane au-dessus de l'héroïne. Un vocabulaire adapté devrait t'assurer une réussite.
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MessageSujet: Re: La nouvelle sans nom.   La nouvelle sans nom. Icon_minitimeDim 29 Mai 2016 - 20:57

Mais c'est mignon Pupuce, c'est affectif. Regarde : "ma pupuce <3"
Et j'avais promis le commentaire, je le ferai (après le bac). En plus tu avais dit être nostalgique de mes pavés... Et tu sais qu'il n'y aura pas que du négatif, tu me connais quand même...
(va pour les macarons, tu auras ta dose. Avec même un petit supplément.)

Allancien a écrit:
la simple fréquentation de cette fille
Quel dédain dans cette phrase... Le mot "fille" est presque craché. Pardon d'exister...
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Kao

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MessageSujet: Re: La nouvelle sans nom.   La nouvelle sans nom. Icon_minitimeDim 29 Mai 2016 - 22:03

Comment ne pas te dédaigner ma chère ?
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MessageSujet: Re: La nouvelle sans nom.   La nouvelle sans nom. Icon_minitimeDim 29 Mai 2016 - 22:10

Toi tu es le seul à le pouvoir, ce n'est pas pareil.
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MessageSujet: Re: La nouvelle sans nom.   La nouvelle sans nom. Icon_minitimeLun 30 Mai 2016 - 19:00

Excuses acceptées Plume! (J'ai juste repris l'expression d'Haruka...)
Je dois donc retirer de cette échange que si je dois corrompre Haruka, c'est avec des macarons?
Haruka, tu flattes tellement notre amie en l'encourageant dans ses pavés. Mais c'est vrai qu'elle en fait de moins en moins... Le bac la change.

Bonjour Kao! Je n'ai pas encore eu l'occasion de t'adresser encore la parole, alors... enchanté de faire ta connaissance!

Pour éviter que la censure "Flood" n'apparaisse, je fais un petit commentaire sur ton histoire Haruka : peut-être que tu devrais accentuer le choc que cela fait à l'héroïne de découvrir que son amie est un monstre. Tu me donnes un peu l'impression de passer vite dessus.
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MessageSujet: Re: La nouvelle sans nom.   La nouvelle sans nom. Icon_minitimeLun 30 Mai 2016 - 19:29

En vérité, je ne m'excusais pas vraiment...
Tu ne pourras pas, ce sont des macarons un peu spéciaux... Et je conserve jalousement ma recette.
Je me rattraperai cet été pour les pavés, je pourrai enfin être active la nuit autant que voulu !

Je suis étonnée que tu ne fasses aucune remarque quant au contenu gore Allancien.
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MessageSujet: Re: La nouvelle sans nom.   La nouvelle sans nom. Icon_minitimeLun 30 Mai 2016 - 20:10

Tu sûre et certaine? "Pardon" ressemble vraiment au mot que l'on emploie pour s'excuser...
Euh... Haruka? Comment tu fais pour manger ce que Plume cuisine?
Ton fan club attend!

Comment dire... Je ne m'attendais pas à ça du tout en lisant le début de cette histoire. Vraiment pas. Mais, c'est pas plus mal... Cette histoire me fait commencer en douceur ce genre littéraire... violent? Non : sanglant et morbide. Si je veux pouvoir ensuite vous rejoindre dans des RP de ce genre, il faut bien que je m'initie.
Maintenant, je n'allais pas faire ma fine bouche. Bien qu'il y ait liberté d'expression, je n'allais pas me plaindre alors qu'Haruka s'est donnée du mal à l'écrire. Je prends tout ou rien. J'ai préféré prendre tout. Sinon, je ne ferais jamais rien. Bref, je blablate beaucoup, mais je ne dis pas grand-chose.
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MessageSujet: Re: La nouvelle sans nom.   La nouvelle sans nom. Icon_minitimeMar 31 Mai 2016 - 15:17

C'était sur un ton très ironique.
J'ai des ingrédients, des matières premières, de très bonne qualité.
(et quand je mets ça dans mon roman, tu en fais toute une caisse... Il faut croire qu'Haruka amène ça de manière plus douce et a un gore moins soudain... Mais je vois bien ta tentative de lui graisser la patte pour te la mettre dans la poche... J'ai droit de propriété sur elle cependant !)
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MessageSujet: Re: La nouvelle sans nom.   La nouvelle sans nom. Icon_minitimeMar 31 Mai 2016 - 15:44

Je vais faire comme si je ne le savais pas.
Que tu ne sais pas assembler ou du moins tu leur donnes des propriétés organoleptiques pas attirantes quand tu les associes...
Mais forcément! Elle ne rêve que de ça... Haruka, ça s'accompagne d'un aspect malsain.
Je ne cherche pas à la mettre dans ma poche. Tu l'as aliénée depuis trop de temps maintenant. Je n'ai aucune chance. Mais je peux toujours faire ami ami avec elle.
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MessageSujet: Re: La nouvelle sans nom.   La nouvelle sans nom. Icon_minitimeMar 31 Mai 2016 - 15:59

Allancien a écrit:
quand tu les associent
... Je sais bien que je suis correctrice et que je passe derrière tous les posts pour enlever les fautes, mais si vous pouviez faire en sorte de ne pas volontairement me donner beaucoup de travail... Pas la peine de tester mes capacités à reconnaître des fautes, ne t'en fais pas, elles sont au point.
Pour les macarons... disons que j'ai déjà une petite entreprise de montée, donc ils sont faits en usine.
(Haru, même sans vraiment l'évoquer, ta période d'esclavage vient dire coucou aux gens...)

Je m'engage Haru à te faire le commentaire et le poster le 25 juin au soir, ou du moins aussi vite que le bac sera fini !
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Xilya

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MessageSujet: Re: La nouvelle sans nom.   La nouvelle sans nom. Icon_minitimeMar 31 Mai 2016 - 16:07

En vrai ya tellement de conneries ici que je comprends plus rien .-. xD
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MessageSujet: Re: La nouvelle sans nom.   La nouvelle sans nom. Icon_minitimeMar 31 Mai 2016 - 16:09

Seule chose à retenir : tu auras ton commentaire que je t'ai promis.
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MessageSujet: Re: La nouvelle sans nom.   La nouvelle sans nom. Icon_minitimeMar 31 Mai 2016 - 17:04

Mici Plume ! =D
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MessageSujet: Re: La nouvelle sans nom.   La nouvelle sans nom. Icon_minitimeMar 31 Mai 2016 - 17:45

Le principal, c'est que je l'ai vue et changée. Moi-même je précise. Et avant que tu fasses la remarque. J'écris de temps en temps sur mon portable, ce qui fait que j'ai le correcteur automatique qui ne corrige pas toujours la bonne chose.
Hum... quelle est la marque? Où as-tu trouvé les fonds nécessaires? Je t'imagine mal à la tête d'employés. Mais... tout est possible ou presque.
Période d'esclavage? Donc j'avais raison en parlant d'aliénation...
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MessageSujet: Re: La nouvelle sans nom.   La nouvelle sans nom. Icon_minitimeMar 31 Mai 2016 - 18:54

Nous ne te donnerons pas nos moyens de fabriquation concernant les macarons, c'est notre secret .-.
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MessageSujet: Re: La nouvelle sans nom.   La nouvelle sans nom. Icon_minitimeMar 31 Mai 2016 - 18:57

Je ne veux pas la recette (bien que j'ai crû comprendre que les macarons étaient fabriqués par Roxanne). Juste la marque.
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MessageSujet: Re: La nouvelle sans nom.   La nouvelle sans nom. Icon_minitimeMar 31 Mai 2016 - 19:19

C'est sans véritable marque. Ce sont juste "les macarons". Et on sait de quoi on parle quand on les évoque.
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MessageSujet: Re: La nouvelle sans nom.   La nouvelle sans nom. Icon_minitimeMar 31 Mai 2016 - 19:49

Donc tu n'as pas d'usine. Intéressant.
Souvenir d'un délire à deux?
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MessageSujet: Re: La nouvelle sans nom.   La nouvelle sans nom. Icon_minitime

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